En solo et en duo, 2 danseuses se posent aux pieds des arbres ; leurs gestes se suspendent.

Elles se fondent dans le paysage, disparaissent, apparaissent et se remettent en mouvement dans les lierres, des branches suspendus à leur geste.

Elles nous embarquent dans la poésie du mouvement et les spectateurs les suivent sur le chemin.

Un dialogue visuel s'installe alors entre le spectateur, les danseuses et le paysage.

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Genèse

La sculpture propose au regard du spectateur un mouvement comme un instant unique .

Lentement  le spectateur/promeneur marche autour la forme, il observe.

Le mouvement de la sculpture change au fur et à mesure de son déplacement. Le promeneur fait danser la sculpture dans l’espace.

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La danse propose une suite de mouvement comme des milliers de poses successives.
Le geste suspendu s’organise avec le temps. Il trace et dessine dans l’espace des lignes et des courbes ; le ralenti, l’accélération et  les silences nous font apprécier la relation des corps dansant avec l’espace.

Le mouvement du danseur modifie la perception qu'à le spectateur de l'espace qui l'entoure.
 

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Le projet est soutenu par le Centre Culturel Marc Sangnier de Mont-Saint-Aignan (76) et la Communauté de Communes du Mont-Saint-Michel (50).